Ok

By continuing your visit to this site, you accept the use of cookies. These ensure the smooth running of our services. Learn more.

13 February 2006

Bratislava

Du Jeudi 12 janvier au mercredi 18 janvier.


 Je m’empare du volant, mais après quelques mètres, un bruit assourdissant retentit : BOUM!!! Notre armoire vient de s’effondrer à l’intérieur de la camionnette : délicieux présage : tout ce rangement qui nous attend....

medium_PICT0063.JPG

Nous arrivons à Bratislava, et nous garons à proximité de la partie historique de la ville. Rapidement nous trouvons l’office de tourisme, nous dirigeons vers un Internet café, et précisons notre rendez-vous pour le lendemain.

Nous passons la soirée dans un pub irlandais. Quel plaisir de lire la presse internationale… J’effectue un tour de medium_PICT0066.JPGtable pour interroger les quelques clients du pub sur notre sujet de prédilection : l’Union européenne… Un homme d’affaire autrichien de 55 ans me dira : les Français sont opportunistes, en plus  ils ont toujours leurs mots à dire… Un Français m’interpelle, il engage la conversation. Celle-ci prend rapidement une tournure existentielle. Ce jeune homme âgé de 35 ans a décidé de consacrer sa vie à l’entreprise. Il ne cache pas son objectif : s’enrichir afin d’acquérir le plus de biens possibles. Toutefois, voyager dans des pays qu’il qualifie de pauvres, lui a permis de constater la pauvreté de son existence qu’il n’est pourtant pas prêt à renier.

 

Le lendemain, nous trouvons l’école sans trop de difficultés. Tout va pour le mieux. Michal, professeur de chimie, responsable de la section bilingue, nous accueille à bras ouverts, nous présente le reste de l’équipe. Nous faisons deux interventions, puis les professeurs nous invitent à manger, et vont même jusqu’à nous offrir la nourriture de leur propre assiette… Michal Fallath a la bonne idée d’interpeller une élève dans le couloir qui nous offre l’hospitalité pour le week-end.

medium_PICT0090.JPG

Celle-ci nous guide jusqu’à la poste. Là, c’est la surprise la plus totale. La poste est bondée, nous devons attendre pas moins de trente minutes, avant d’envoyer une simple lettre. Les jeunes femmes qui travaillent au guichet ne peuvent à la fois accueillir les clients et traiter en même temps tout le courrier… Nous nous dirigeons ensuite vers un bar Internet à la mode. Là encore, la société occidentale est présente dans toute sa splendeur : écran géant, meubles modernes, musique d’ambiance uniforme, quelque soit le pays traversé. Assez de subir ce matraquage musical, o combien déplaisant…

 

La jeune fille qui nous accueille se prénomme Aléna, elle est âgée de 19 ans, ouverte, elle semble ravie de nous accueillir. Elle est vraiment sympathique, mais la désormais routinière présentation devient quelque peu agaçante. Elle nous guidera jusqu’à son village : Most pri Bratislava. Une chambre est déjà prête. Nous effectuons les présentations d’usage...

medium_PICT0011.JPG

Le lendemain, Aléna nous propose de rendre visite à ses grands-parents. Nous acceptons avec joie. C’est en effet l’occasion pour nous d’effectuer un questionnaire auprès de véritables autochtones. D’autant plus une vielle génération. Il apparaît bien vite que les grands-parents n’ont pas véritablement voulu l’indépendance de 1993. Les politiques ont pris cette décision à l’insu du peuple disent-ils… En 1989, certes la fin de la guerre froide annonce de grands changements. Mais eux ne l’ont pas véritablement sentie. Après-midi vraiment fructueuse, nous constatons l’efficacité de l’endoctrinement communiste. Les gens ne font pas preuve d’un esprit critique aiguisé, et continuent à vivre sans réelles compréhensions des bouleversements qu’ils vivent pourtant. Loin de montrer de la satisfaction de s’être libérés du joug communiste,  ils expriment bien d’avantage leur peur face à un avenir incertain.

 

medium_PICT0001.JPGLe lendemain, nous avons la chance de déguster quelques spécialités slovaques : le plat national : le Bryndzove Halusky, sorte de quenelles de pommes de terre ainsi que la Kapustnica, une soupe épaisse au chou et à la saucisse fumée à laquelle on peut ajouter des champignons. Aléna nous affirme en souriant, que dans le village, l’un de ses voisins s’est fait assassiner par la mafia slovaque… Voilà qui est rassurant…

Nous interrogeons ses autres grands-parents, la télévision restera allumée tout au long de notre entrevue. Nous verrons de vieilles séries américaines qui ont infesté l’Europe : Santa Barbara, Dallas… Même des séries françaises : Julie Lescaut, Navarro… Puis le bouquet final : un simili western français avec des actrices de renom telles que Claudia Cardinal, Brigitte Bardot… Eh oui, la tyrannie du plaisir continue, la virilité habituelle des westerns laisse place à un érotisme de seconde zone. Autant de Topless habillées en cow-girl désarmant, à coup d’exhibitionnisme, « les gâchettes les plus chevronnées » ; ce spectacle se passe de commentaires!!! Quelques alcools nationaux nous sont servis pendant l’interview, la Slivovica : une eau de vie à la prune, ainsi que la borovicka, une boisson aux baies de Genièvre, auxquelles nous ne manquons pas de faire honneur, le plus souvent malgré nous…

medium_PICT0013.JPG


La Slovaquie est un pays plus jeune que la république Tchèque, leur premier combat a été celui de la validité de leur langue. D’autant plus qu’ils ont toujours été occupés par quelqu’un… L’engouement du grand-père est vraiment touchant, celui-ci nous joue ses souvenirs avec beaucoup d’entrain et de fierté… Le petit ami de la maman d’Aléna nous dira avec une pointe d’humour : "Avec toute cette bureaucratie franco-française, heureusement qu’un petit pays rural est entré au sein de l’Union Européenne, il pourra la désengluer voire la sauver…"

 

Le jour suivant nous avons rendez-vous avec le premier conseiller de l’ambassadeur. Nous pénétrons dans l’enceinte de l’ambassade, présentons nos passeports. M. Rouard nous écoutera avec beaucoup d’attention, puis nous présentera à l’attaché de coopération linguistique M. Rimbert. Mission accomplie : nous avons réussi à obtenir divers contacts, à travers l’Europe, ainsi qu’une attestation rédigée de la main du premier conseiller.

medium_PICT0079.JPG

Après avoir englouti notre repas, nous répartissons nos tâches. Je cherche la maison de l’Europe, ainsi que les journalistes. Michel, quant à lui ira à l’université. Je goûte aux joies de l’escapade citadine, visite la Tour Saint-Michel, le Palais Primatiale, le Théâtre National Slovaque… Je me dirige ensuite vers le bar Internet. Je ressasse les raisons qui nous ont poussés à faire ce voyage. Je me souviens des ouvrages que je lisais durant mon enfance, notamment les conquérants de l’impossible de Philippe Ebly. De façon machinale j’écris le nom de cet auteur qui nous avait marqués un ami d’enfance et moi-même. Je lis avec enthousiasme les résumés de la plupart de ses ouvrages : Destination Uruapan, Le naufragé des étoiles… Un flot d’émotions m’envahit. Quel bonheur !!! Mon enfance ressurgit, ces espaces oubliés, ce temps retrouvé valent toutes les virtualités possibles, avec cependant une émotion bien réelle…


 

Les enseignants nous ayant proposé de nous restaurer en leur compagnie le jour suivant, nous attendons patiemment dans la salle des professeurs... Après une demi-heure d’attente, nous commençons à nous poser des questions : qu’en est-il de ce repas ? Finalement, l’un d’entre eux nous emmène manger en quatrième vitesse, les élèves ne disposant que d’une pause de 15 minutes pour se restaurer !!!

medium_PICT0101.JPG

C’est donc le cœur léger mais le ventre lourd que nous effectuerons ces interventions… Les élèves nous feront diverses remarques : c’est bien vous tentez de nous ouvrir les yeux sur certains sujets clés… L’un d’eux, lorsque nous leur demandons s’ils connaissent la devise européenne, s’exclamera en riant : Vive la Slovaquie ! Selon eux l’Europe est un beau projet, mais demande tellement de travail et d’investissement…

Vers la fin de l’intervention, une jeune journaliste, accompagnée d’un photographe nous interviewe. Michel termine l’intervention seul pendant que je m’entretiens en espagnol avec la journaliste… Celle-ci me fait visiter le journal dans lequel elle travaille : le SME. J’observe avec intérêt les journalistes en train de s’affairer... Je discute ça et là, puis prends congé… Je me dirige ensuite, frigorifié vers une cabine téléphonique pour contacter le Gymnasium de Banska Bistryca. Je parviens à contacter Elena Sasinkova, responsable de la section bilingue. Nous convenons d’un rendez-vous pour le lendemain.

 

Yves Mouillet.

yvouche@yahoo.fr

  

12 February 2006

Carte de la Slovaquie

medium_Slovaquie.jpg

19:30 Posted in Cartes - Maps | Permalink | Comments (0)

09 February 2006

Analyse République Tchèque

 

 

RÉPUBLIQUE TCHÈQUE

 

 

Nous avons passé 15 jours en République Tchèque dans les villes de Olomouc et Prague.

Je ne cache pas ma déception car nous sommes un peu passé « à côté » de ce pays. Seulement deux villes, une famille d’accueil à Olomouc et quelques jours avec deux jeunes journalistes à Prague, c’est peu !

Et c’est le problème que nous allons rencontrer tout au long du voyage. Mais c’est encore le début de notre aventure et nous ne sommes pas encore tout à fait au point. Il faut ajouter que l’hiver est pour nous un réel problème. Il nous limite aux grandes villes et aux grands axes routiers.

 


Néanmoins, pour une « mise en jambe », nous avons tout de même réussi à réaliser 9 interventions dans les lycées. Ces dernières ont concerné des lycéens de section bilingue français et anglais. Des jeunes comme chez nous avec lesquels nous avons passés de très bons moments.

 

Pourtant, en règle générale, nous les sentirons beaucoup plus résignés que les jeunes que nous avons l’habitude de côtoyer en France. Il est très clair qu’on ne leur avait jamais présenté la démocratie comme nous l’avons fait et qu’ils se sont presque étonnés à l’idée qu’ils pouvaient aussi s’impliquer ou réaliser des projets dans leur société, en bref qu’ils peuvent être des citoyens actifs.

 

 

    Une jeunesse entre pessimisme

    et résignation 

 

Lorsque je dis résignés, il faut même y ajouter pessimistes. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque durant notre première intervention, à la question « comment voyez vous l’Union européenne dans 30 ans ? Comment aimeriez-vous la voir ? » la réponse d’un jeune homme de 18 ans fut la suivante : « de toute manière, dans 30 ans, l’Union européenne n’existera plus ! Nous sommes trop différents, nous n’arriverons pas à nous entendre. » Mes efforts réussiront à lui faire voir d’autres possibilités avec un point de vue renouvelé, mais tout de même !

La résignation précoce de ces jeunes est troublante, voir inquiétante. Elle est sûrement le fruit de leur éducation, celle d’une génération qui a vécue sous le communisme et habituée à subir les événements plus qu’à pouvoir les influencer. La conséquence de cette résignation est simple : ces jeunes n’ont quasiment aucun idéal, sont plutôt pessimistes et n’imaginent pas une seconde qu’ils puissent avoir une influence sur le cour des choses.

Du coup ils n’ont jamais pensé à ce qu’ils pouvaient -eux- souhaiter, et comment ils aimeraient voir l’Europe, le monde. Nous ajouterons également que leurs connaissances sur l’Union européenne étaient inexistantes. Les programmes scolaires n’ont sans doute pas eu le temps de s’adapter.

Mais tout de même ! A coup sûr ces jeunes risquent de ne pas être le « fer de lance » d’une Union européenne plus intégrée. Ils pensent tout d’abord à leur pays ou à le fuir. Ils ne pensent pas à l’Europe. Et si on leur parle de l’Union européenne, c’est à leurs yeux une construction économique qui permet -entre autre- de voyager plus facilement et d’avoir des opportunités à l’étranger. Rien de plus !

Jamais nous ne rencontrerons un jeune qui évoquera l’idéal européen de communauté politique supérieure. Et lorsque nous expliquons que c’est cet idéal qui est à l’origine de la construction européenne, on nous regarde avec de gros yeux, voire on peine à nous croire.

 

 

    Bon voyage !

 

Nous avons tout de même la satisfaction de constater que nos interventions ont un impact évident. D’ailleurs, nous avons un argument de choix : notre voyage, notre projet est la meilleure preuve qu’il est possible de réaliser ses rêves à condition de s’investir et de travailler. Un commentaire d’une élève sur notre blog nous apportera une satisfaction supplémentaire après notre première intervention : « C’est une super idée ! Je suis une des élèves d’Olomuc et je voudrais vous dire merci que vous êtes venu chez nous. Votre point de vue m’a vraiment inspiré, alors merci ! Et BON VOYAGE ! » Tereza Machacikova.

 


Pour terminer sur les deux villes que nous avons fréquentées, Olomouc et Prague, ainsi que les routes que nous avons empruntées, il est indéniable que la République Tchèque est un beau pays et qu’on s’y sent pleinement chez soit, en Europe. La ville de Prague est impressionnante de beauté même si le trop plein de touristes lui donne un côté « Disneyland » dommageable. Néanmoins c’est une ville internationale, très culturelle, une ville phare, qui attire. Tous les jeunes nous ont dit leur rêve d’aller étudier, travailler ou vivre à Prague.


 

Quant aux tchèques, que j’ai peu fréquenté, je les ai senti plutôt calmes, sans ambition ni frustration particulière, contrairement aux Polonais, par exemple. Ils répètent simplement, assez souvent, que la République Tchèque est « petite » et qu’elle ne peut réussir toute seule. Le besoin d’Europe est donc bien présent. Reste un travail immense en terme d’explication technique et historique de l’Union européenne ainsi que de réflexion sur les enjeux de notre avenir commun.

 

PIERPAOLI Michel

michelpierpaoli@yahoo.fr

 

 

-LA REPUBLIQUE TCHEQUE, EN BREF :

 

medium_800px-Europe_location_CZE.png

 

 

Son nom :

« Cechy » (i. e : Tchéquie), en référence à Cech, héros éponyme (i. e : ’’qui donne son nom’’) et ancêtre mythique du peuple tchèque, lorsqu’il vint s’installer dans le pays de Bohême (légende médiévale).

 

Superficie :

Environ 78 900 km².

 

Drapeau :

medium_800px-Flag_of_the_Czech_Republic.svg.pngLa République tchèque a conservé le drapeau tricolore de l’ancienne fédération tchécoslovaque, fondé sur les couleurs panslaves (XIXème siècle).
Les bandes blanches et rouges peuvent faire référence à la Bohême (et à ses armoiries médiévales), le triangle bleu à la Moravie.

 

Fête nationale :

Tous les 28 octobre (commémoration de la proclamation de l’indépendance, en 1918).

 

Capitale :

Prague (en tchèque : Praha ; i. e : ’’les essarts’’), aujourd’hui plus d’un million d’habitants.

 

Principales grandes villes :

Brno, Hradlec Kralove, Liberec, Olomouc, Ostrava, Plzen, Usti nad Labem, etc.

 

Population :

Environ 10,3 millions d’habitants (dont près de 97% de tchèques, moraves et minorités slovaques).

 

Langues parlées :

tchèque (langue officielle) avec des minorités slovaques, polonaises, ruthéno-ukrainiennes, hongroises, tziganes (roms) et germanophones.

 

Religions principales :

Catholicisme (environ 50%), Protestantisme (environ 20%), autres (environ 30%).

 

Adhésion à l’UE :

Effective le 1er mai 2004 ; une candidature pour adhésion officiellement déposée en janvier 1996 et des négociations d’adhésions ayant commencé en 1998.
(NB : Adhésion effective après ratification du peuple tchèque -par référendum- les 13 et 14 juin 2003, avec 77,33% de OUI).

 

Formalités de séjour :

Pour séjourner en République tchèque, il vous suffit d’avoir un passeport en cours de validité. Mais, pour les séjours en RTC de plus de trois mois, un visa est nécessaire.
(NB : La République tchèque participe aux programmes communautaires SOCRATES, LEONARDO DA VINCI & JEUNESSE).

 

Régime politique :

La République tchèque est une démocratie parlementaire où le pouvoir législatif est détenu par un Parlement bicaméral composé de deux chambres : une Chambre basse (la Chambre des Députés) et une Chambre haute (le Sénat), lesquelles réunies en Congrès élisent conjointement le Président de la république, tous les cinq ans (mandat renouvelable une fois).

 

Actuel chef de l’Etat (Président de la République) :

Vaclav Klaus (Conservateur, parti ’’civique démocratique’’ ODS).

 

Actuel chef du gouvernement (Premier ministre) :

Jiri Paroubek (Socialiste, parti ’’social-démocrate’’ CSSD).

 

Monnaie :

Couronne tchèque (1 CK = 100 haleru).
Entrée dans la zone euro prévue pour 2010 (1 CK = 0,035 Euros).

 

Economie :

La RTC a pour principales ressources naturelles l’anthracite, le charbon, l’argile et le graphite.
Parmi les pays néo-entrants de 2004, elle fait partie des Etats dont le niveau économique est le plus élevé avec un PNB annuel de 2730 Euros par habitants (23660 Euros pour la France) et avec un salaire mensuel moyen brut de 430 Euros (2200 en France).

 

Un peu d’Histoire :

medium_499px-Coat_of_arms_of_the_Czech_Republic.svg.png

 

 

 

 

 

 

 

 

Les armoiries de la République tchèque

Après dix siècles passés dans le giron du Saint Empire romain germanique puis sous la domination impériale des Habsbourg d’Autriche, les pays tchèques (ancien royaume médiéval de Bohême) obtinrent leur indépendance en 1918, dans le cadre de la république tchécoslovaque.Après la seconde guerre mondiale puis la période communiste, il fallu attendre 1989 (la révolution de velours) et 1993 (la séparation d’avec la Slovaquie) pour que soit proclamée la République tchèque, entrée dans l’UE en mai 2004.

 

Personnages célèbres :

St Wenceslas, ’’Vaclav’’ en langue tchèque (Roi de la Bohême médiévale, au Xème siècle), Charles IV de Luxembourg (Roi de Bohême et Empereur germanique, au XIVème siècle), Jan Hus (Prédicateur et réformateur du XVème siècle), Jan Amos Komensky dit Comenius (Humaniste et pédagogue du XVIIème siècle, dont l’université slovaque de Bratislava porte le nom), Albrecht von Wallenstein (Chef militaire et Homme politique du XVIIème siècle),
les Erudits Frantisek Palacky, Josef Jungmann, Frantisek Celakovsky (’’Eveilleurs’’ de la conscience nationale tchèque et codificateurs de la langue tchèque, au XIXème siècle), Bedrich Smetana, Antonin Dvorak & Leos Janacek (compositeurs), Alfons Mucha (artiste peintre), Jaroslav Hasek, Karel Kapek, Franz Kafka & Milan Kundera (écrivains),
Tomas Garrigue Masaryk, Edvard Benes, Alexander Dubcek -d’ailleurs plutôt slovaque que tchèque- et Vaclav Havel (hommes politiques du XXème siècle), Milos Forman (cinéaste), etc.

Pour en savoir plus (Informations pratiques et agenda culturel ) :

www.centretchèque.org, www.visitczechia.cz et www.czech.cz

 

Sources images et photos: http://fr.wikipedia.org

13:25 Posted in ANALYSES | Permalink | Comments (0)

08 February 2006

CALENDAR - KALENDARZ - KALENDAR

The calendar of our trip:

Way until Republic Tcheque:  from 1 to 2 of December 2005 (2 days); 1000 km

REPUBLIC TCHEQUE: December 3, 2005 - January 11, 2005 (20 days); 1390 km

SLOVAKIA: January 12, 2005 - January 29, 2006 (18 days); 650 km

HUNGARY: January 30, 2006 - February 19, 2006 (21 days); 1443 km

ITALY: February 20, 2006 – February 25, 2006 (6 days); 600 km

SLOVENIA: February 26, 2006 – March 11, 2006 (14 days); 583 km

CROATIA:  March 12, 2006 - March 26, 2006 (15 days); 1552 km

BOSNIE-HERZEGOVINE: March 27, 2006 - April 10, 2006 (15 days); 1051 km

SERBIA-MONTENEGRO: April 11, 2006 - April 27, 2006 (17 days); 2480 km

ALBANIA: April 28, 2006 - May 12, 2006 (15 days); 981 km

MACEDOINE: May 13, 2006 - May 27, 2006 (15 days); 1047 km

ROMANIA: May 28, 2006 – June 18, 2006 (22 days); 2828 km

BULGARIA: June 19, 2006 – July 5, 2006 (17 days); 1942 km

TURKEY - CYPRUS: July 6, 2006 - August 31, 2006 (57 days); Km to be recomputed because of Cyprus moreover

UKRAINE: September 1, 2006 - September 24, 2006 (24 days) km to be recomputed

MOLDAVIE: September 25, 2006 – October 7, 2006 (15 days); Km to be recomputed

ESTONIA: October 8, 2006 - October 22, 2006 (15 days); 1260 km

LATVIA: October 23, 2006 - November 7, 2006 (16 days); 1482 km

LITHUANIA: November 8, 2006 - November 23, 2006 (16 days); 1220 km

POLAND: November 24, 2006 - December 29, 2006 (32 days); 3462 km

Way back to France: December 30, 2006 – December 31, 2006 (2 days); 1000 km

16:05 Posted in Calendrier | Permalink | Comments (0)

CALENDRIER - CALENDAR - CALENDARIO

Notre itinéraire de voyage:

Trajet jusqu’en République Tchèque : 

Durée : 14 au 15 décembre 2005 (2jours) ; 1000km

REPUBLIQUE TCHEQUE: 15 décembre 2005 – 11 janvier 2006 (20 jours); 1390 Km

SLOVAQUIE : 12 janvier 2006 – 29 janvier 2006 (18 jours) ; 650 Km

HONGRIE : 30 janvier 2006 – 19 février 2006 (21 jours) ; 1443 Km

ITALIE : 20 février 2006 – 25 février 2006 (6 jours) ; 600 km

SLOVENIE : 26 février 2006 –  11 mars 2006 (14 jours) ; 583 Km

CROATIE : 12 mars 2006 – 26 mars 2006 (15 jours) ; 1552 Km

BOSNIE-HERZEGOVINE : 27 mars 2006 – 10 avril 2006 (15 jours) ; 1051 Km

SERBIE-MONTENEGRO : 11 avril 2006 – 27 avril 2006 (17 jours) ; 2480 Km

ALBANIE : 28 avril 2006 – 12 mai 2006 (15 jours) ; 981 Km

MACEDOINE: 13 mai 2006 – 27 mai 2006 (15 jours) ; 1047 Km

ROUMANIE : 28 mai 2006 – 18 juin 2006 (22 jours) ; 2828 Km

BULGARIE : 19 juin 2006 – 5 juillet 2006 (17 jours) ; 1942 Km

TURQUIE - CHYPRE : 6 juillet 2006 – 31 août 2006 (57 jours) ; le Kilométrage est à recalculer du fait de l’ajout de Chypre.

UKRAINE : 1 septembre 2006 – 24 septembre 2006 (24 jours) Km à recalculer

MOLDAVIE : 25 septembre 2006 – 7 octobre 2006 (13 jours) ; Km à recalculer

ESTONIE: 8 octobre 2006 – 22 octobre 2006 (15 jours); 1260 Km

LETTONIE: 23 octobre 2006 – 7 novembre 2006 (16 jours); 1482 Km

LITUANIE: 8 novembre 2006 – 23 novembre 2006 (16 jours); 1220 Km

POLOGNE: 27 novembre 2006 – 29 décembre 2006 (32 jours); 3462 Km

Trajet Retour de Pologne en France :

Durée : 30 au 31 décembre 2006 (2jours) ; 1000 km

16:00 Posted in Calendrier | Permalink | Comments (0)